Cites & Insights is now available:
Volume 10, Issue 10, September/October 2010 de autoria de Walt Crawford
quinta-feira, 30 de setembro de 2010
quarta-feira, 29 de setembro de 2010
Drupal para Bibliotecas e Arquivos
Livro que faz a compilação de artigos sobre Drupal apresentado no FESABID 2009, coordenado por Jesús Tramullas.
No ISSUU
No E-LIS
Drupal para bibliotecas y archivos., 2010 Fund. Zaragoza Ciudad del Conocimiento. [Book]
No ISSUU
No E-LIS
Drupal para bibliotecas y archivos., 2010 Fund. Zaragoza Ciudad del Conocimiento. [Book]
terça-feira, 28 de setembro de 2010
segunda-feira, 27 de setembro de 2010
Bibliothèques et sciences de l'information : quel dialogue ?
Colloque co-organisé par l'enssib et la School of Information Studies (SIS) de l'Université McGill
23 et 24 novembre 2010 à l'enssib (Villeurbanne, France)
Face aux évolutions technologiques, scientifiques, économiques, sociales, culturelles et politiques de leur environnement, les bibliothèques, en tant qu'organismes culturels et scientifiques, doivent repenser leurs pratiques actuelles et à venir, leur positionnement économique, politique et institutionnel, et leur rôle social, culturel et scientifique. Dans ce contexte, qu'attendent les bibliothécaires de la recherche ? Quels thématiques et projets de recherche répondraient à leurs besoins ? Les sciences de l'information peuvent-elles apporter des réponses aux enjeux actuels ?
Pour les sciences de l'information, l'objet central est l'information-documentation ; laquelle s’inscrit dans tous les domaines de la vie sociale, culturelle, économique et politique, et qui est indissociable d’autres activités : industrielles, scientifiques, culturelles et autres. La recherche en sciences de l'information couvre ainsi un vaste champ, auquel s'applique aussi bien l'ingénierie documentaire que l'analyse des besoins d'information, l'étude des pratiques informationnelles que celle de l'élaboration et des usages des ressources d'information, l'analyse socio-économique de l'offre éditoriale que la bibliométrie, la gestion et l'organisation de la connaissance que l'analyse des modalités de représentation du savoir, entre autres.
Sans doute, plusieurs questionnements des chercheurs en sciences de l'information rejoignent-ils les préoccupations des bibliothécaires, plusieurs interrogations des bibliothécaires trouvent-elles des éléments de réponse du côté des sciences de l'information. Il apparaît, pourtant, que la recherche en sciences de l'information, telle qu'elle se développe actuellement, ne trouve pas toujours grâce aux yeux de la communauté des responsables de bibliothèque. Les bibliothécaires et les bibliothèques considèrent être délaissés par les chercheurs en sciences de l’information qui s'intéressent davantage à l'information-documentation dans les entreprises marchandes ou les organismes scientifiques et culturels. Inversement, certains chercheurs en science de l'information se plaignent du peu d'intérêt que les bibliothécaires portent aux résultats de leur recherche.
Pourquoi de tels griefs réciproques ? Les sciences de l'information peuvent-elles, seules, apporter une réponse aux attentes des bibliothèques ? L'histoire, l'économie politique, la sociologie et l'anthropologie ne sont-elles pas des disciplines scientifiques dont l'apport peut être aussi important, dès lors qu'elles se choisissent les bibliothèques, et le livre, comme objets d'étude ?
Les organisateurs aimeraient que ce colloque soit le lieu, d'une part, d'une rencontre et de débats entre des représentants des bibliothèques et de la communauté des sciences de l'information et, d'autre part, de témoignages et d'échanges d'expériences et de points de vue qui permettront d’identifier des axes de recherche pertinents au monde des bibliothèques et de l’information.
Pour les sciences de l'information, l'objet central est l'information-documentation ; laquelle s’inscrit dans tous les domaines de la vie sociale, culturelle, économique et politique, et qui est indissociable d’autres activités : industrielles, scientifiques, culturelles et autres. La recherche en sciences de l'information couvre ainsi un vaste champ, auquel s'applique aussi bien l'ingénierie documentaire que l'analyse des besoins d'information, l'étude des pratiques informationnelles que celle de l'élaboration et des usages des ressources d'information, l'analyse socio-économique de l'offre éditoriale que la bibliométrie, la gestion et l'organisation de la connaissance que l'analyse des modalités de représentation du savoir, entre autres.
Sans doute, plusieurs questionnements des chercheurs en sciences de l'information rejoignent-ils les préoccupations des bibliothécaires, plusieurs interrogations des bibliothécaires trouvent-elles des éléments de réponse du côté des sciences de l'information. Il apparaît, pourtant, que la recherche en sciences de l'information, telle qu'elle se développe actuellement, ne trouve pas toujours grâce aux yeux de la communauté des responsables de bibliothèque. Les bibliothécaires et les bibliothèques considèrent être délaissés par les chercheurs en sciences de l’information qui s'intéressent davantage à l'information-documentation dans les entreprises marchandes ou les organismes scientifiques et culturels. Inversement, certains chercheurs en science de l'information se plaignent du peu d'intérêt que les bibliothécaires portent aux résultats de leur recherche.
Pourquoi de tels griefs réciproques ? Les sciences de l'information peuvent-elles, seules, apporter une réponse aux attentes des bibliothèques ? L'histoire, l'économie politique, la sociologie et l'anthropologie ne sont-elles pas des disciplines scientifiques dont l'apport peut être aussi important, dès lors qu'elles se choisissent les bibliothèques, et le livre, comme objets d'étude ?
Les organisateurs aimeraient que ce colloque soit le lieu, d'une part, d'une rencontre et de débats entre des représentants des bibliothèques et de la communauté des sciences de l'information et, d'autre part, de témoignages et d'échanges d'expériences et de points de vue qui permettront d’identifier des axes de recherche pertinents au monde des bibliothèques et de l’information.
sábado, 25 de setembro de 2010
Banned Books 25 Setembro- 2 Outubro
Banned Books Week (BBW) is an annual event celebrating the freedom to read and the importance of the First Amendment. Held during the last week of September, Banned Books Week highlights the benefits of free and open access to information while drawing attention to the harms of censorship by spotlighting actual or attempted bannings of books across the United States.
Intellectual freedom—the freedom to access information and express ideas, even if the information and ideas might be considered unorthodox or unpopular—provides the foundation for Banned Books Week. BBW stresses the importance of ensuring the availability of unorthodox or unpopular viewpoints for all who wish to read and access them.
The books featured during Banned Books Week have been targets of attempted bannings. Fortunately, while some books were banned or restricted, in a majority of cases the books were not banned, all thanks to the efforts of librarians, teachers, booksellers, and members of the community to retain the books in the library collections. Imagine how many more books might be challenged—and possibly banned or restricted—if librarians, teachers, and booksellers across the country did not use Banned Books Week each year to teach the importance of our First Amendment rights and the power of literature, and to draw attention to the danger that exists when restraints are imposed on the availability of information in a free society.
Banned Books Week is sponsored by the American Booksellers Association; American Booksellers Foundation for Free Expression; the American Library Association; American Society of Journalists and Authors; Association of American Publishers; and the National Association of College Stores. It is endorsed by the Center for the Book in the Library of Congress.
For more information on getting involved with Banned Books Week: Celebrating the Freedom to Read, please see Calendar of Events and Ideas and Resources. You can also contact the ALA Office for Intellectual Freedom at 1-800-545-2433, ext. 4220, or bbw@ala.org.
Fotos no Flickr
Vivam as bibliotecas vivas!
For more information on getting involved with Banned Books Week: Celebrating the Freedom to Read, please see Calendar of Events and Ideas and Resources. You can also contact the ALA Office for Intellectual Freedom at 1-800-545-2433, ext. 4220, or bbw@ala.org.
Fotos no Flickr
Vivam as bibliotecas vivas!
sexta-feira, 24 de setembro de 2010
Koha, OPAC da moda?
If you do an advanced search at http://www.librarytechnology.org, you can limit to public libraries using Koha, which might give you some leads (I get 429 results at present).
The Koha site itself also offers examples and a map of libraries using it: http://koha.org/showcase
Vivam as bibliotecas vivas!
Vivam as bibliotecas vivas!
quinta-feira, 23 de setembro de 2010
A Neuro-Informação
La Neuroinformación, un nuevo campo de trabajo para los profesionales de la Información
"Quienes están lo bastante locos como para pensar que pueden cambiar el mundo son quienes lo cambian". Steve Jobs
Tradicionalmente la ciencia ha considerado que el cerebro era incapaz de cambiar y que una vez desarrollado en las primeras fases de la infancia sufría un proceso de degeneración que continuaba hasta la muerte. Esta creencia se sustentaba fundamentalmente en el hecho de que los pacientes con daño cerebral rara vez se recuperaban por completo, así como nuestra incapacidad para observar la actividad microscópica del cerebro vivo [Norman Doidge 2008].
Pero esto ha cambiado en los últimos años con el desarrollo de tecnologías más avanzadas en el campo de la Neurociencia que facilitan a los científicos estudiar el comportamiento del cerebro vivo en distintas actividades, lo que ha permitido demostrar que el cerebro es capaz de cambiar su estructura y su función a través de la actividad y el pensamiento, lo que se denomina neuroplasticidad.
Este nuevo descubrimiento está suponiendo una verdadera revolución en todas las disciplinas científicas, y como no podía ser de otra manera, también en las Ciencias de la Información y Documentación, lo que ha dado origen a lo que desde la Fundación Ciencias de la Documentación hemos denominado Neuroinformación.
La Neuroinformación es un campo de investigación científica multidisciplinar que integra los conocimientos de la Neurociencia (estudio científico de la evolución, estructura y funcionamiento del sistema nervioso, con un enfoque especial sobre el cerebro y su papel en el comportamiento y las funciones cognitivas humanas) a las Ciencias de la Información y Documentación con el objetivo de mejorar los procesos con la información contenida en los documentos (creación, gestión, almacenamiento, búsqueda y transmisión) para su aplicación en las unidades de información (archivos, bibliotecas, centros de documentación), generando conocimiento que produzca cambios en los individuos y la sociedad.
Así mismo, la Neuroinformación busca aportar los conocimientos de las Ciencias de la Información en técnicas de visualización de datos, recuperación de información, gestión de ficheros, mejora de la calidad y usabilidad de documentos en el campo de la Neurociencia.
La Neuroinformación entra, por tanto, en relación directa con la Neurobiología (estudio biológico del sistema nervioso), la Neurología (es la especialidad médica que trata los trastornos del sistema nervioso), la Neurocognitiva (que hace referencia a las facultades humanas para procesar la información), la Neuroinformática (se centra en la aplicación de los descubrimientos neurocientíficos a las tecnologías de la información), o la Neurosociedad (que es el estudio de la influencia social del desarrollo neuronal).
CÓMO PROCESA LA INFORMACIÓN EL CEREBRO
Desde que a principios del siglo pasado el Premio Nobel español Santiago Ramón y Cajal descubriera que en el tejido nervioso existían unas células especiales denominadas neuronas, la ciencia ha avanzado mucho en este campo, permitiendo hoy en día saber que las aproximadamente 100 billones de neuronas del cerebro se comunican unas con las otras utilizando diferentes señales eléctricas y componentes químicos (neurotransmisores), formando circuitos de distintos tipos, dependiendo de la región del cerebro donde se produzca [Aberdeen 2010], siendo esta actividad de las neuronas en los circuitos cerebrales los que producen el comportamiento y el conocimiento, aunque todavía los científicos no tienen claro cómo se producen de forma concreta.
NUESTRO CEREBRO NO ES UN COMPUTADOR
De lo que nadie tiene dudas es de que el cerebro es un excelente procesador de información procedente de estímulos exteriores que impactan en los millones de neuronas de nuestro cerebro [Emilia Currás 2000]. Pero frente a la concepción tradicional que comparaba al cerebro con una computadora que procesa información en forma de bits, los científicos están descubriendo que el cerebro y el computador mantienen importantes diferencias de grado y de tipo.
1. De grado en procesos de gestión (centralizado vs descentralizado), entrada (secuencial vs paralela), salida (exclusiva vs superpuesta-multifuente) o almacenamiento (por dirección vs conexiones) [Whitworth 2008].
2. De tipo en la información con la que trabajan (estructurada vs no estructurada). El cerebro trabaja con distintos tipos de información, una que podemos llamar estructurada – la cual puede ser reducida en principio a bits -, y otra que podemos llamar no estructurada – la cual los ordenadores actuales no son capaces de procesar hoy en día.
Además, estos tipos de información se procesan en distintos niveles en el cerebro, correspondiendo los dos primeros al tipo estructurado y los dos últimos al no estructurado:
1. Nivel molecular: comprende las actividades moleculares dentro de la neurona en base a la información almacenada en el ADN (genes, proteínas).
2. Nivel neuronal: comprende las redes de neuronas y las sinapsis entre neuronas (neurotransmisores).
3. Nivel fenomenológico [Draganescu 1990]: comprende la experiencia, entendida esta como colección de acontecimientos que constituyen nuestra vida mental consciente.
4. Nivel psicológico: es el nivel más alto y puede ser visto como un nivel macroscópico, el cual comprende la conducta, las actividades intelectuales, el pensamiento y los sentimientos.
MEJORAR LOS PROCESOS CON LA INFORMACIÓN
Como hemos visto, uno de los objetivo de la Neuroinformación es mejorar los procesos con la información contenida en los documentos en base a la aplicación de los descubrimientos neurocientíficos a las Ciencias de la Información y Documentación.
Así por ejemplo, si está demostrado que las personas acceden al conocimiento por asociaciones, se ve necesario diseñar interfaces que accedan a la información de la misma forma, como enlaces de hypertexto que unan el elemento de un conocimiento con el siguiente [Whitworth 2008].
CONCLUSIÓN: NUEVO CAMPO EN LAS CIENCIAS DE LA INFORMACIÓN
Visto todo esto a modo de presentación, lo que quisiera dejar en "la mente" de los lectores de este artículo, es que los profesionales de las Ciencias de la Información y Documentación tienen por delante un nuevo campo de trabajo, con gran futuro y proyección, tanto en empresas privadas como públicas, que amplia sus capacidades profesionales de servicio social unido a conocimientos científicos que exigen nuevas habilidades unidas al campo de la Neurociencia, así como desarrollo de otras siempre necesarias como el dominio de idiomas y procesos documentales en entornos digitales.
El futuro ya está aquí y no debemos dejarlo pasar. Por ello me permito invitarles a que nos acompañen - y si pueden - se hagan miembros del International Observatory on Neuro-Information (http://www.neuro-information.org) que la Fundación Ciencias de la Documentación ha puesto en marcha y que en breve realizará eventos, formación, investigaciones, reuniones, etc en este NUEVO CAMPO de trabajo.
"Quienes están lo bastante locos como para pensar que pueden cambiar el mundo son quienes lo cambian". Steve Jobs
Tradicionalmente la ciencia ha considerado que el cerebro era incapaz de cambiar y que una vez desarrollado en las primeras fases de la infancia sufría un proceso de degeneración que continuaba hasta la muerte. Esta creencia se sustentaba fundamentalmente en el hecho de que los pacientes con daño cerebral rara vez se recuperaban por completo, así como nuestra incapacidad para observar la actividad microscópica del cerebro vivo [Norman Doidge 2008].
Pero esto ha cambiado en los últimos años con el desarrollo de tecnologías más avanzadas en el campo de la Neurociencia que facilitan a los científicos estudiar el comportamiento del cerebro vivo en distintas actividades, lo que ha permitido demostrar que el cerebro es capaz de cambiar su estructura y su función a través de la actividad y el pensamiento, lo que se denomina neuroplasticidad.
Este nuevo descubrimiento está suponiendo una verdadera revolución en todas las disciplinas científicas, y como no podía ser de otra manera, también en las Ciencias de la Información y Documentación, lo que ha dado origen a lo que desde la Fundación Ciencias de la Documentación hemos denominado Neuroinformación.
La Neuroinformación es un campo de investigación científica multidisciplinar que integra los conocimientos de la Neurociencia (estudio científico de la evolución, estructura y funcionamiento del sistema nervioso, con un enfoque especial sobre el cerebro y su papel en el comportamiento y las funciones cognitivas humanas) a las Ciencias de la Información y Documentación con el objetivo de mejorar los procesos con la información contenida en los documentos (creación, gestión, almacenamiento, búsqueda y transmisión) para su aplicación en las unidades de información (archivos, bibliotecas, centros de documentación), generando conocimiento que produzca cambios en los individuos y la sociedad.
Así mismo, la Neuroinformación busca aportar los conocimientos de las Ciencias de la Información en técnicas de visualización de datos, recuperación de información, gestión de ficheros, mejora de la calidad y usabilidad de documentos en el campo de la Neurociencia.
La Neuroinformación entra, por tanto, en relación directa con la Neurobiología (estudio biológico del sistema nervioso), la Neurología (es la especialidad médica que trata los trastornos del sistema nervioso), la Neurocognitiva (que hace referencia a las facultades humanas para procesar la información), la Neuroinformática (se centra en la aplicación de los descubrimientos neurocientíficos a las tecnologías de la información), o la Neurosociedad (que es el estudio de la influencia social del desarrollo neuronal).
CÓMO PROCESA LA INFORMACIÓN EL CEREBRO
Desde que a principios del siglo pasado el Premio Nobel español Santiago Ramón y Cajal descubriera que en el tejido nervioso existían unas células especiales denominadas neuronas, la ciencia ha avanzado mucho en este campo, permitiendo hoy en día saber que las aproximadamente 100 billones de neuronas del cerebro se comunican unas con las otras utilizando diferentes señales eléctricas y componentes químicos (neurotransmisores), formando circuitos de distintos tipos, dependiendo de la región del cerebro donde se produzca [Aberdeen 2010], siendo esta actividad de las neuronas en los circuitos cerebrales los que producen el comportamiento y el conocimiento, aunque todavía los científicos no tienen claro cómo se producen de forma concreta.
NUESTRO CEREBRO NO ES UN COMPUTADOR
De lo que nadie tiene dudas es de que el cerebro es un excelente procesador de información procedente de estímulos exteriores que impactan en los millones de neuronas de nuestro cerebro [Emilia Currás 2000]. Pero frente a la concepción tradicional que comparaba al cerebro con una computadora que procesa información en forma de bits, los científicos están descubriendo que el cerebro y el computador mantienen importantes diferencias de grado y de tipo.
1. De grado en procesos de gestión (centralizado vs descentralizado), entrada (secuencial vs paralela), salida (exclusiva vs superpuesta-multifuente) o almacenamiento (por dirección vs conexiones) [Whitworth 2008].
2. De tipo en la información con la que trabajan (estructurada vs no estructurada). El cerebro trabaja con distintos tipos de información, una que podemos llamar estructurada – la cual puede ser reducida en principio a bits -, y otra que podemos llamar no estructurada – la cual los ordenadores actuales no son capaces de procesar hoy en día.
Además, estos tipos de información se procesan en distintos niveles en el cerebro, correspondiendo los dos primeros al tipo estructurado y los dos últimos al no estructurado:
1. Nivel molecular: comprende las actividades moleculares dentro de la neurona en base a la información almacenada en el ADN (genes, proteínas).
2. Nivel neuronal: comprende las redes de neuronas y las sinapsis entre neuronas (neurotransmisores).
3. Nivel fenomenológico [Draganescu 1990]: comprende la experiencia, entendida esta como colección de acontecimientos que constituyen nuestra vida mental consciente.
4. Nivel psicológico: es el nivel más alto y puede ser visto como un nivel macroscópico, el cual comprende la conducta, las actividades intelectuales, el pensamiento y los sentimientos.
MEJORAR LOS PROCESOS CON LA INFORMACIÓN
Como hemos visto, uno de los objetivo de la Neuroinformación es mejorar los procesos con la información contenida en los documentos en base a la aplicación de los descubrimientos neurocientíficos a las Ciencias de la Información y Documentación.
Así por ejemplo, si está demostrado que las personas acceden al conocimiento por asociaciones, se ve necesario diseñar interfaces que accedan a la información de la misma forma, como enlaces de hypertexto que unan el elemento de un conocimiento con el siguiente [Whitworth 2008].
CONCLUSIÓN: NUEVO CAMPO EN LAS CIENCIAS DE LA INFORMACIÓN
Visto todo esto a modo de presentación, lo que quisiera dejar en "la mente" de los lectores de este artículo, es que los profesionales de las Ciencias de la Información y Documentación tienen por delante un nuevo campo de trabajo, con gran futuro y proyección, tanto en empresas privadas como públicas, que amplia sus capacidades profesionales de servicio social unido a conocimientos científicos que exigen nuevas habilidades unidas al campo de la Neurociencia, así como desarrollo de otras siempre necesarias como el dominio de idiomas y procesos documentales en entornos digitales.
El futuro ya está aquí y no debemos dejarlo pasar. Por ello me permito invitarles a que nos acompañen - y si pueden - se hagan miembros del International Observatory on Neuro-Information (http://www.neuro-information.org) que la Fundación Ciencias de la Documentación ha puesto en marcha y que en breve realizará eventos, formación, investigaciones, reuniones, etc en este NUEVO CAMPO de trabajo.
BIBLIOGRAFÍA
Aberdeen Neuroscience. How the brain processes information; from ion channels to circuits to behavior. 2010. http://www.abdn.ac.uk/neuroscience/processes
Currás, Emilia. El metabolismo neuronal de la información. En Tratado sobre Ciencia de la Información. UNR Editora: Rosario (Rep. Argentina), 2000.
Doidge, Norman. El cerebro se cambia a sí mismo. Santillana Ediciones Generales, S.L.: Madrid, 2008.
Drâgânescu, Mihai. The brain as an information processor. Romanian Academi. NOESIS, XXV, 2000, p.9-20. http://www.racai.ro/~dragam/The_brain_as_an_information_processor.htm [Consultado: Septiembre 2010].
Whitworth, Brian. Some implications of comparing brain and computer processing. Proceedings of the 41st Hawaii International Conferences on Sytem Sciences, 2008. http://brianwhitworth.com/brainhci.pdf [Consultado: Septiembre 2010].
Aberdeen Neuroscience. How the brain processes information; from ion channels to circuits to behavior. 2010. http://www.abdn.ac.uk/neuroscience/processes
Currás, Emilia. El metabolismo neuronal de la información. En Tratado sobre Ciencia de la Información. UNR Editora: Rosario (Rep. Argentina), 2000.
Doidge, Norman. El cerebro se cambia a sí mismo. Santillana Ediciones Generales, S.L.: Madrid, 2008.
Drâgânescu, Mihai. The brain as an information processor. Romanian Academi. NOESIS, XXV, 2000, p.9-20. http://www.racai.ro/~dragam/The_brain_as_an_information_processor.htm [Consultado: Septiembre 2010].
Whitworth, Brian. Some implications of comparing brain and computer processing. Proceedings of the 41st Hawaii International Conferences on Sytem Sciences, 2008. http://brianwhitworth.com/brainhci.pdf [Consultado: Septiembre 2010].
quarta-feira, 22 de setembro de 2010
segunda-feira, 13 de setembro de 2010
Visita a Chester Beatty Library, Dublin, Irlanda
Esta biblioteca situa-se num jardim perto do castelo de Dublin, num edifício do séc. XVIII com intervenção arquitectónica, sobretudo no hall de entrada que está envidraçado e faz a ligação com um edifício novo (galerias de exposição).
Todo o seu espólio nasce da colecção de arte do mecenas Alfred Chester Beatty (1875-1968), que comporta documentos manuscritos, livros, mobiliário, pintura, etc.
A biblioteca tem uma excelente sala de leitura com livros de referência especializados em obras de Arte Ocidental, Mundo Árabe e Extremo Oriente. Possui ainda uma colecção dedicada ao estudo das Artes Sacras e às grandes religiões.
Podemos admirar nas salas de exposição os livros em caixas de jade chinês, ou os inrô japoneses, documentos do império Mongol, manuscritos persas e indianos iluminados...assim como cópias iluminadas do Corão, papiros antigos, os célebres papiros com poemas de amor egipcíos (1100 a.C.), textos evangélicos com 200 d.C., etc.
As galerias de exposição que ocupam parte do novo edifício são muito visitadas, e tive o privilégio de visitar a excelente exposição que está patente até Outubro "Imperial Mughal Albums from the Chester Beatty Library"
Sobre a exposição:
Named by The Art Newspaper as one of the top ten Asian exhibitions worldwide for 2008 and back home after a four-venue tour of America, this is a stunning, not-to-be-missed exhibition of paintings from the land of the Taj Mahal. The Library holds one of the finest collections of Indian Mughal paintings in existence, and this exhibition is a rare opportunity to see many of the best of those works. The exhibition focuses on a group of six albums (muraqqa‘s) compiled in India between about 1600 and 1658 for the Mughal emperors Jahangir and Shah Jahan (builder of the Taj Mahal). Each album folio originally consisted of a painting on one side and a panel of calligraphy on the other, all set within beautifully illuminated borders. Many of the paintings are exquisitely rendered portraits of emperors, princes and courtiers—all dressed in the finest textiles and jewels—but there are also images of court life, and of Sufis, saints, and animals. The exhibition is accompanied by a fully-illustrated, multiple award-winning catalogue.
segunda-feira, 6 de setembro de 2010
Visita à Old Library - Trinity College, Dublin
A Old Library (construída entre 1712 e 1732) faz parte do complexo de bibliotecas da University of Dublin – Trinity College, de longe a mais famosa por possuir manuscritos únicos e de valor histórico incomparável, entre eles a pérola: the Book of Kells, e de ser uma das maiores bibliotecas de investigação do mundo.
Tem a sorte de receber o depósito legal de livros impressos da Grã-Bretanha e da Irlanda, que estão depositados por vários edifícios.
A sala principal da Old Library chama-se Long Room, uma belíssima galeria de 65 metros com uma mezzanine e 200.000 volumes, onde está concentrada a colecção dos livros antigos.
O governo irlandês investiu recentemente na investigação sobre os manuscritos do Long Room, os de carácter regional em língua gaélica, os manuscritos medievais e na análise científica do Book of Kells. Existe também um grande projecto de digitalização e indexação de manuscritos com parceria com o Instituto de Artes e Humanidades da universidade – o projecto Long Room Hub.
A biblioteca contribui para a Europeana com documentos digitalizados de temas relacionados com relatos e diários de viagens, documentos sobre explorações geográficas, etc.
Ver:
Vivam as bibliotecas vivas!
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